Nathan Chevalier
Journal Intime d'un mouilleur de couches.

Madame Chazelle

Madame Chazelle est un des meilleurs textes que j’ai pu lire sur le sujet ABDL. Machiavélique à souhait et très bien rédigé. Un texte que j’aurai aimé avoir inventé. Le plus amusant c’est qu’il est de même nature que « Jérôme » et composé presque à la même époque. Je vous le propose en prime….. avec une correction syntaxique et orthographique. Peu de choses ont été modifiées. Ce qui prouve le sérieux de cet écriture.

Vers la fin des années 80, je me trouvais à travailler dans la région du Forez. Il s’agissait d’une période d’essai dans le secteur du porte à porte qui devait m’amener à la direction d’une agence commerciale. Le métier était dur car il fallait convaincre des personnes, au départ ignorantes de nos produits, de s’équiper en matériel d’isolation pour portes et fenêtres pour lesquels, il faut le reconnaître, bon nombre d’entre eux n’avaient nul besoin réel. Nous avions des équipes bien organisées qui, réparties en deux, prenaient un rendez-vous avec un ‘technicien’ chargé de leur faire une étude sur leur consommation d’énergie qui leur permettrait de réaliser de substantielles économies. Les ventes pouvaient parfois durer de longues heures et il m’est arrivé de rester jusqu’à huit heures de rang avec un client avant d’obtenir la signature d’un contrat. Ce soir de février, la semaine avait été difficile et les contrats si peu nombreux et qui plus est si peu importants que la moindre signature nous permettrait de limiter la casse. Un de mes prospecteurs m’avait pris rendez-vous dans une belle petite maison de deux étages dans un bourg perdu sur les hauteurs. Le village était de petite taille mais coquet, avec bon nombre de demeures en pierres. La plupart des maisons, y compris les fermes adjacentes avaient orné leurs fenêtres de jardinières fleuries par des géraniums, pensées ou oeillets d’Inde, mais bon nombre avaient oublié d’ôter ces ornements qui jaunissaient alors que nous étions déjà bien avancés dans l’hiver. Je sonnais à la porte de la maison et fût accueilli après quelques longues minutes d’attente par une femme d’une cinquantaine d’années.

« Bonjour, je suis Monsieur Merlot de la société ISODEL, nous avons pris rendez-vous avec vous pour une étude personnalisée de votre consommation d’énergie »

« Enchantée je suis Madame Odile Chazelle, veuillez vous donner la peine d’entrer. »

Brune, encore très belle, elle me dépassait de près de dix centimètres malgré ma taille très honorable, près d’un mètre quatre-vingt, et dégageait un charme puissant. Vêtue d’une robe en laine de couleur pervenche, elle possédait une fabuleuse poitrine sans être une femme grosse, ce qui la rendait très désirable. Nous nous asseyâmes dans le salon où je lui fis une présentation complète de nos produits. Ceci fait, je lui demandais de pouvoir visiter l’ensemble des pièces de sa maison afin de pouvoir établir un devis sans engagement. Elle accepta sans problème, ce qui était plutôt bon signe, les clients étant souvent réticents à faire visiter leur habitation et craignant que le devis ne soit qu’un prétexte à une tentative de vente, ce qui était bien entendu le cas. L’ensemble des pièces était meublé sans ostentation, mais avec un goût sûr. De nombreux meubles étaient anciens et de style. Nous commençâmes par la chambre d’amis. Elle ressemblait plus à une chambre d’enfant qu’autre chose, avec son lit une place, quelques jouets épars et l’affiche d’un film de Disney. Un peu incongru était la présence d’un seau d’aisance sur le linoléum qui recouvrait le sol et d’un très grand pot de bébé dans un coin de la pièce. Visiblement il devait s’agir d’une reproduction publicitaire king size d’un accessoire d’enfant, car je ne voyais pas quel bébé aurait pu utiliser un tel pot. Je demandais à mon hôtesse si elle recevait parfois des enfants, sans oser pronocer les mots petits enfants de peur qu’elle ne se vexe sur son âge et elle répondit que la chambre était utilisée par sa fille et parfois son mari. Son corsage étant légèrement ouvert, je jetais parfois un regard à la dérobée sur le haut du sillon qui séparait ses gros seins blancs et ronds. Nous visitâmes ensuite le débarras qu’elle souhaitait également isoler et je compris la raison pour laquelle l’ensemble de la maison était aussi bien meublé. Il y avait là un amoncellement hétéroclite de chaises, fauteuils, guéridons, buffets et autres menus objets dans des états divers. Nous faisons un peu de brocante mon mari et moi. Je me charge de sélectionner les pièces intéressantes lors de vide-greniers et mon mari en fait la restauration si nécessaire. Au milieu de ce bric à brac on apercevait quelques paquets de protections pour adultes, probablement récoltés lors d’un vide-grenier durant un passage de Madame Chazelle. L’ayant à plusieurs reprises appelée Madame, elle me pria de l’appeler Odile.De retour dans la salle à manger j’effectuais mes calculs et, après le baratin habituel, annonçais le montant total qui était conséquent compte tenu de la taille de la maison. J’étais réticent à l’idée d’entamer une négociation de prix possible alors que son mari n’était pas présent. Cas habituel dans ce type de vente, à mon départ le mari rentre et trouve le prix trop cher. Le contrat risquait de se trouver annulé car il n’aurait pas participé à notre discussion. Lorsque j’abordais ce sujet elle m’expliqua que son mari faisait tout ce qu’elle disait et qu’il n’était qu’un petit enfant devant elle, ce que je voulais bien croire vu sa stature. Il est en vacances chez une amie non loin d’ici et fait toujours ce que je lui demande. Pas complètement rasséréné par ses propos, je lui communiquais cependant le devis. Madame Chazelle ne parut pas trop décontenancée par cette coquette somme, mais n’envisageait pas de faire les travaux dans toutes les pièces. Je craignais qu’elle n’en fasse même pas la moitié et qu’elle décide de faire les aménagements en deux fois ce qui ne m’aurait pas arrangé, la majorité des clients s’arrêtant une fois la première partie terminée. En fait, elle voulait n’exclure que trois pièces du devis, dont une qui ne comportait qu’un fenestron. En tout moins de quinze pour cents du prix. Je lui fis une proposition de remise si elle se décidait tout de suite et lui précisait qu’étant le Directeur de l’agence, je suivrai personnellement l’avancée des travaux. Ces dernières paroles eurent l’air d’emporter sa décision et elle prépara le chèque d’acompte à envoyer à la société. Il faut fêter cela. Je vais déboucher une bonne bouteille de blanc. Elle posa une bouteille de blanc de la région, servit généreusement deux verres d’un vin aux reflets jaune pâle et commença à m’interroger sur ma vie personnelle. Elle appris que j’étais originaire de la région parisienne, célibataire et que je travaillais seulement depuis quelque temps dans la région. « 

« Un vrai célibataire ? Pas de petite amie dans votre vie ?

« Non, quelques fréquentations mais pas plus. »

Odile me proposa de partager son repas puisqu’il était déjà neuf heures.

« Ne soyez pas gêné et acceptez, il est rare que nous ayons des invités et l’isolement est parfois pesant lorsque l’on est loin de tout. J’ai également peur que vous ne soyez notre hôte forcé pour la nuit, car la neige tombe sans discontinuer depuis votre arrivée. Malgré la faible altitude de nos monts, il me semble guère raisonnable d’essayer de franchir notre petit col ce soir. « 

Je maudissais intérieurement ce temps car j’espérais être en ville ce soir et rejoindre des connaissances dans un bar dont une était une ravissante brune que je comptais bien mettre dans mon lit. Malheureusement je savais que les fameux petits cols étaient vite enneigés et devenaient rapidement impraticables à la moindre giboulée. Un rapide coup d’oeil à la fenêtre me permis d’évaluer les dégâts. Si je partais maintenant je risquais fort de me trouver bloqué rapidement et contraint de passer la nuit dans ma voiture. J’acceptais cette offre faisant bon coeur contre mauvaise fortune. Nantie de ma décision de rester pour la nuit, un copieux repas bien arrosé me fût servi.

« De toutes façons, vous ne conduirez pas ce soir et demain c’est le week-end, rien en vous presse. « 

Je savourais les bons plats et me laissais griser par le vin. Odile n’hésitait pas à me resservir dès que mon verre était vide et, avec ma soirée ratée, je me laissais faire pour oublier ma déception de me trouver dans cette situation. Beaucoup plus tard et après peut-être deux bouteilles et force rasades de liqueur maison, nous prîmes une tisane et elle m’accompagna à la chambre d’amis.

« Les draps son propres car j’attends ma fille pour dimanche. Pour ce qui est des toilettes, il faudra vous contenter du pot de chambre autrement les toilettes sont dans le jardin. Je suis désolée de ce manque de confort, mais nous devrions avoir une installation sanitaire digne de ce nom dès l’été. J’ai vous sorti ai un pyjama de mon mari que vous pouvez utiliser. Bonne nuit mon petit !« 

me lança-t-elle affectueusement avant de me laisser. La tête alourdie par l’alcool et par la fatigue de la semaine je me glissais paresseusement dans le lit et constatais dans un demi-sommeil qu’il était muni d’une double alèse en coton et plastique. Sa fille devait encore avoir quelques problèmes la nuit. Je m’endormis comme une masse dans cette ambiance confortable et maternelle, la vision des gros seins de mon hôtesse me donnant un début d’érection. Je dus dormir profondément, car à neuf heures je fus réveillé par le bruit des rideaux que l’on ouvrait.Il a encore neigé durant la nuit.

« A ce compte là vous resterez sans doute une journée de plus parmi nous. « 

D’autorité elle souleva mes draps et je constatai avec effroi que je m’étais oublié durant la nuit. Une large auréole d’urine cernait mon pyjama à l’entrejambe.

« Mais c’est que l’on fait encore pipi au lit ! Remarque, à ton âge on peut se le permettre car tu es encore bien jeune. « 

Je n’osais aucune marque de protestation, étant glacé par la honte. Le tutoiement de cette femme ajoutait encore à ma gêne et me ramenait de longues années en arrière. Ce n’est pas grave, maman va s’occuper de toi et te laver. Encore complètement abruti par le vin d’hier je me laissais guider hébété. Elle me prit par la main et m’emmena dans la salle d’eau où elle fit couler un bain. Sans écouter les protestations qui sortaient de ma bouche empâtée je fus déshabillé, mis dans l’eau et elle lava soigneusement toutes les parties de mon corps. Je voulu me défendre lorsqu’elle s’approcha de mon sexe mais elle m’expliqua droit dans les yeux qu’un petit enfant devait obéir et que si je n’avais pas fait pipi au lit, elle ne serait pas obligée de faire tout cela. Elle lava également mon derrière et, les doigts enduits de savon, força légèrement mon petit trou. Ce qui eût pour conséquence de me mettre en érection. Mais c’est qu’on est sensible de cet endroit là aussi. Elle me masturba très légèrement le sexe en prenant bien soin de ne pas me faire éjaculer. Elle prit une grande serviette qui m’enveloppa tout le corps et me sécha. La serviette avait une capuche et elle me laissa dans cet accoutrement en me demandant de l’attendre quelques instants. Elle fût vite de retour avec une culotte blanche en plastique ouvrante pour adultes incontinents dans une main et deux couches grande taille pour adultes en cellulose dans l’autre. J’étais pétrifié et aucun son ne sortait de ma bouche malgré mon intention de refuser. Les garçons énurétiques comme toi doivent porter des couches comme les bébés, car ils ne peuvent pas se retenir. Ne t’en fait pas, j’ai l’habitude des garnements de ton espèce et je sais très bien m’en occuper. Elle ajusta les boutons pressions de la culotte, me passa un maillot de corps type petit bateau et un slip kangourou sur mes couches.

« Maintenant le petit déjeuner et ensuite nous irons chez tante Odette. »

Je réussi péniblement à articuler et à demander d’une voix de fausset qui était cette femme. – C’est une dame qui rends les enfants obéissants et les aide dans leur vie de tout petits.

« Et maintenant plus de questions. A ton âge on n’interroge pas les grandes personnes à tous propos. »

Etant encombré par la culotte en plastique, je descendis précautionneusement les marches à la main de celle qui se faisait désormais appeler maman. La température dans la cuisine était presque étouffante mais m’évitait d’avoir froid dans ma tenue légère. Elle me fît asseoir et me servi un chocolat chaud et des céréales. Le chocolat avait un petit goût amer certainement dû au lait de ferme mais était très bon. Je mangeais de bon appétit et finalement me sentais bien dans ce retour à l’enfance et depuis le début je sentais mon sexe en érection. La table débarrassée, Odile me demanda de rester dans la cuisine le temps qu’elle prépare la voiture pour notre visite. J’étais assez intrigué car vu l’épaisseur de la couche de neige, je ne voyais pas comment nous pourrions nous déplacer. J’entendis un moteur diesel tourner dans la cour et elle gara un gigantesque quatre fois quatre à côté de la porte d’entrée. Elle me passa un peignoir de bain ainsi qu’une paire de chaussons et me fit monter dans la voiture. A l’arrière, comme les petits. La banquette était recouverte d’une alèse découpée aux mêmes dimensions et elle avait mis le chauffage à fond. La tête commençait à me tourner et l’une des dernières pensées que j’eus avant de m’endormir était que le chocolat devait être drogué. Je n’eût pas longtemps le loisir de pousser plus avant mes réflexions sur ce sujet car je m’assoupis quelques minutes après notre départ. Je me réveillais, je suppose assez peu de temps après, secoué par le chaotis dû à la route mais toujours groggy. Nous approchions d’une grande maison bourgeoise, visiblement la seule demeure aux alentours. Le paysage était couvert de neige d’une hauteur d’au moins vingt-cinq centimètres dans laquelle la voiture ne se frayait un chemin qu’avec peine. Nous pénétrâmes sous un porche où j’eus le temps d’apercevoir une plaque en cuivre ternie : Docteur Odette M., médecin.
Une fois rentrés dans la maison , Odette nous apparu dans l’entrée. Egalement la cinquantaine elle était vêtue d’une blouse blanche de docteur. Je constatais qu’elle était nue sous son vêtement et que celui-ci laissait entrevoir une poitrine aussi mamouthéenne que maman Odile.

« Comment va Bernard ?« 

demanda madame Chazelle.

« Il est désormais encore plus bébé qu’avant et ses seules joies sont désormais la tétée et se masturber dans ses couches. Quand il ne fait pas les deux en même temps. »

dit-elle dans un rire de gorge.

« Alors voici donc le petit garçon dont tu m’as parlé au téléphone et qu’il faut ramener à son véritable état de bébé. Je vois qu’il ne peux déjà plus se retenir. »

dit-elle en regardant mes couches.

« Oui je l’ai trouvé hier et il me semble parfait pour faire partie de notre nurserie. »

A ma grande honte je constatais que j’avais fait pipi dans ma culotte durant le trajet.

« Tu vas voir, bientôt tu ne pourras plus te passer de tes couches. Tu feras tout dedans : pipi et caca et tu ne rêveras plus comme Bernard que de culottes en plastique et de grosses mamelles pleines de lait. Bernard est-il prêt pour l’infantilisation suprême ? « 

Interrogea maman Odile.

« Nous allons commencer ce soir. Je ne voulais pas débuter cela sans toi ma chérie. »

Je me doutais rapidement que leur relation n’était pas qu’amicale, car Odile et Odette s’embrassaient parfois à pleine bouche et laissaient leurs mains caresser leurs poitrines ou leurs fesses respectives.

« Bien, nous allons nous rendre dans mon cabinet et s’occuper de ton nouveau. »

Odile m’entraîna par la main, me déshabilla, ce qui fût vite fait, me retira ma couche et me fit m’allonger sur le dos sur la table d’auscultation.

« Nous allons d’abord te ramener au stade de petit garçon. Comme les petits garçons n’ont pas de poils sur le corps il faut d’abord t’épiler. »

Elle sorti d’une armoire une bombe dépilatoire ainsi qu’une pince à épiler. Tout mon corps fût enduit du produit et les poils autour de mon sexe furent éliminés au rasoir et à la pince ce qui était parfois douloureux. Elles me firent mettre debout et dans une glace je me vis complètement imberbe comme je ne m’étais plus vu depuis la puberté.

« Tu vois c’est déjà mieux. Maintenant il faut éviter que tu fasses à nouveau pipi dans la journée. On va te mettre un petit bouchon au bout du zizi. »

Je voulus me lever et protester mais Odile me plaqua sur le dossier tandis qu’Odette sortait les sangles de la table. Ainsi immobilisé, je ne pu que crier jusqu’à ce que lassées par mes cris et mes pleurs, elles me bâillonnèrent avec une énorme tétine de caoutchouc.

« Allons tu vas voir, cela ne fais presque pas mal et après tu seras comme bébé Bernard. Sauf que lui, il est à un stade encore plus avancé que toi. »

dit-elle en riant.Elle prit une sorte de tuyau en caoutchouc transparent d’environ trente centimètres.

« Je vais te faire une piqûre pour que tu sois plus détendu. »

Je tentais encore de me débattre mais maintenu par les sangles je ne pouvais rien faire. Elle enfonça l’aiguille dans mon bras et je me sentis devenir rapidement somnolent tout en restant éveillé. Je voyais maman Odette me tenir la verge décalottée, pendant que maman Odile lubrifiait le tuyau et mon méat. Elle l’enfonçait doucement, centimètre par centimètre jusqu’à ce que je suppose, il passe dans ma vessie puisqu’à ce moment là de l’urine s’échappa du tuyau. Une fois les trente centimètres rentrés, elles ajustèrent un capuchon hermétique identique à celui que l’on trouve à l’extrémité d’un stylo à bille. Au bout de mon gland on ne voyait plus que la petite excroissance que formait le capuchon. Elles me remirent quand même mes couches avec une culotte en plastique blanche, fermée cette fois-ci, et me mirent debout. Je peinais à me tenir droit, le cerveau embrumé par la substance qui m’avait été injectée, maman Odile devait me soutenir. Elle m’ajustèrent une culotte courte, un maillot de corps, un chandail et une grosse doudoune et me dirent d’aller jouer dans la cour intérieure. J’avais les mains menottées derrière le dos pour que je ne puisse pas retirer le « bouchon », ni me « toucher ». La cours était entièrement close par de hauts murs et ne voyais pas comment j’aurais pu m’échapper, surtout par ce froid glacial et dans cette tenue. Mes hôtesses devaient en être persuadées car elle me laissèrent complètement libre. La neige n’avait pas été dégagée et je faisais attention à ne pas mouiller mes chaussures, car maman Odile m’avait menacé de la fessée si j’avais les pieds trempés. Une bonne heure après, grelottant, elles revinrent me chercher. Leurs yeux étaient brillants et je me doutais qu’elles venaient de faire l’amour. Les journées passaient et je restais prisonnier chez maman Odile. Elle m’avait excusé auprès de mon bureau en expliquant que j’étais malade et les avait informé que cela pouvait durer longtemps prétextant une forte angine. Étant elle-même docteur, maman Odette avait fait tous les certificats médicaux nécessaires. J’avais droit à de nombreux verres d’eau et de jus d’orange. A intervalles réguliers, approximativement toutes les deux ou trois heures, elles me faisaient asseoir sur le pot et retiraient le capuchon pour me laisser faire mes besoins. Mon urine s’écoulait involontairement dans le pot sous la pression et elles me massaient le sexe comme pour me traire afin que ma vessie soit entièrement vidée. Tous les soirs, on me retirait le tuyau avant que j’aille me coucher. Elles me mettaient une culotte en plastique ouvrante à boutons pression, garnie de deux grandes couches droites en cellulose et de trois petites pour bébé. Au préalable j’avais dîné et les repas forcés étaient systématiquement servis avec de l’eau et de la bière en quantité ce qui me faisait tourner la tête et prolongeait mon abrutissement. Je pense qu’elles devaient rajouter une drogue quelconque à ces boissons. Chaque matin j’étais réveillé par une des mamans qui ensuite me lavait et me mettait à nouveau le tuyau dans mon zizi. Le diamètre augmentait régulièrement à chaque fois. Quoiqu’ayant perdu en partie la notion du temps, il me semble que c’est au bout de dix jours que les mamans avaient obtenu leur première victoire. Bien que dès le début j’avais tendance à faire quelques gouttes de pipi dans mes couches en dormant, je fus réveillé un matin avec mes couches complètement trempées. Leurs efforts avaient eut pour conséquence de me rendre très vite incontinent la nuit. Le matin, même mon alèse était débordante de pisse malgré toutes mes tentatives pour me retenir. J’avais beau essayer de me contrôler, j’étais redevenu un petit garçon qui faisait pipi au lit. Au bout de quelques jours, elles m’annoncèrent que je passerai au deuxième stade. Alors que la mise en place du tuyau se faisait maintenant dans la salle d’eau, après mon bain je fus conduit dans le cabinet de consultation et allongé sur le ventre. Redoutant sans doute une rébellion de ma part alors que j’étais, je suppose, régulièrement drogué et donc apathique, je fus à nouveau sanglé avant même de prononcer une parole.

« Comme tu es déjà un pisseux la nuit, nous allons aussi te faire faire caca sans que tu puisse te retenir. Il va arriver à ton petit trou la même chose qu’à ton zizi.« 

m’annonça Odile.

« Tu vas voir, tu vas bientôt adorer ça et tu seras même demandeur. »

ajouta Odette. Mon anus fus préalablement et longuement lubrifié et je sentis quelque chose qui forçais mes sphincters. J’avais beau essayer de me contracter l’objet rentrait inexorablement entre mes fesses jusqu’à les déchirer. Je pleurais pendant que maman Odile me consolait et me laissait entrevoir ses gros seins sous sa blouse.

« Du courage mon petit, avant peu tu ne pourras plus t’en passer tellement tu aimeras ça et plus tard tu pourras plonger ta tête entre nos gros lolos et les têter goulûment comme un bon gros bébé que tu es en passe de devenir. »

En fait elles m’avaient mis un gigantesque plug qui était coincé dans mon rectum dans la partie en forme d’oeuf mais qui avait la particularité d’avoir un rétreint beaucoup plus gros que les plugs normaux et me dilatait l’anus de quatre bons centimètres. C’était extrêmement douloureux et pour apaiser ma souffrance maman Odette me masturba. Cette situation devait m’exciter car j’éjaculais au bout de quelques aller-retour seulement. Dans la journée elle me retirait le plug à peu près toutes les quatre heures et me faisait m’asseoir sur un pot de bébé à ma taille, spécial car muni en son centre d’un énorme godemichet en latex.

« Il est nécessaire que, comme tous les bébés, tu retrouves le stade anal où l’on aime rester sur le pot. »

m’expliquèrent-elles. Je devais m’asseoir dessus et me masturber l’anus avec cette tige de diamètre monstrueux en me soulevant et me rasseyant plusieurs fois de suite. Mon anus s’ouvrait démesurément et restait encore ouvert plusieurs minutes après l’intromission. L’urine s’échappait de mon sexe à chaque aller-retour. Un clapotis se faisait entendre dans le pôt, mais après quelques minutes je sentais une érection naître en moi. Je ne pouvais pas m’empêcher de bander et au bout de quelques jours, je me trouvais même à éjaculer involontairement durant cette masturbation anale sans que l’une des mamans ne me touche le sexe comme elles le faisaient au début. L’odeur aussi m’excitait, des pets sonores et un peu de caca s’échappant systématiquement d’entre mes fesses durant ces sodomies. Ces réactions les convainquirent que j’étais sur la bonne voie et elles m’obligèrent à rester longtemps assis sur le pot l’anus dilaté. Pour faire bonne mesure elles avaient adapté sur le pot une sorte de godemichet souple et très long, peut-être trente centimètres, qui me rentrait profondément dans les intestins. Au bout de quelques temps mon ventre aspirait sans peine au moins vingt-cinq centimètres de ce lézard articulé. Elles espéraient qu’ainsi non seulement mes sphincters seraient dilatés, mais que l’ensemble de mon système fécal serait alors sans contrôle. Peu après je ne portais plus de « bouchon » au zizi. On m’avait retiré définitivement le tuyau mais j’avais l’urètre tellement élargi que j’étais même devenu incontinent durant la journée. Il faut dire que le dernier que les mamans m’avaient enfoncé dans le sexe alors que j’étais encore inconscient, devait faire près d’un demi-centimètre de diamètre et m’avait causé beaucoup de souffrance. Heureusement je ne l’avais conservé que quelques heures. Depuis les couches m’étaient devenues indispensables de jour comme de nuit. Bien entendu les mamans veillaient toujours à ce que je boive beaucoup. J’étais un bébé à leurs yeux mais j’avais toujours droit à la bière, qui coulait régulièrement à flots à chaque repas ainsi qu’au café de manière à ce que je sois continuellement trempé. Que cela me plaise ou non, elles m’obligeaient à ingurgiter de larges quantités de liquide. Je sentais maintenant presque toutes les heures des flots d’urine qui s’écoulaient dans mes couches et me mouillaient l’entrecuisse sans pouvoir en rien l’empêcher.

« Très bientôt il faudra te mettre des changes complets en plus de ta culotte en plastique, comme les vrais bébés. »

constata maman Odile. La nuit, elles me mettaient à la tête du lit les couches de la veille baignées d’urine avec leur odeur âcre pour que… je me fasse à la bonne odeur du pipi. Mon habillement avait également été modifié. Je ne portais plus de culotte courtes comme au début mais un simple slip sur ma couche et un tee-shirt type Petit Bateau. De plus en plus elles m’incitaient à me déplacer à quatre pattes au lieu de marcher, afin que je m’habitue à… mon véritable état. La nourriture n’était plus la même. Je n’avais plus que des aliments très cuits, surtout des légumes, ou des purées. La journée il ne m’était plus autorisé que de regarder des dessins animés et de jouer avec des peluches. Les legos ne m’étaient que tolérés. La nuit, elles m’ôtaient le plug et me faisaient aller sur le pot avant que j’aille coucher. Des matières s’échappaient parfois de mon anus quand elles le retiraient et elle passaient le plug sous mon nez en me disant que prochainement je le lécherais avec délice. J’avais peur de ce moment mais en même temps je me sentais excité par cette perspective. En attendant, j’avais désormais une gigantesque tétine dans la bouche pour dormir. Maintenant les mamans me faisaient toucher leurs gros seins à travers leurs soutien-gorges en soie gonflés que je caressais avec délice. Je touchais de mes mains la douce texture de leur peau, mais je n’avais toujours pas le droit d’y mettre ma bouche, ni de caresser leurs gros tétons, magnifiques fraises durcies par l’excitation de me voir réduit à un tel état. Après quelques jours de ce traitement, je commençais à m’habituer aux plugs de plus en plus gros qu’elles me mettaient dans l’anus et y prenais même du plaisir. Pourtant il y eut un matin où lorsque maman Odette vint me réveiller et qu’elle inspecta mes couches en ouvrant la culotte en plastique j’avais, au lieu de laisser quelques traces brunâtres sur les couches inondées comme j’en avais maintenant l’habitude, j’avais tout lâché dans ma culotte. Une grosse masse de matières chaudes me collait aux fesses et me remontais jusqu’au sexe. Il faut dire que les aliments très liquides et les laxatifs que maman Odile me donnaient, combinés à l’élargissement de mon petit trou devaient bien conduire à cela un jour ou l’autre. Maman Odette parut très satisfaite du résultat.

« Parfait, tu te rapproches de plus en plus de ton état naturel. Encore quelques transformations et on ne fera plus la différence entre un bébé et toi. »

Les choses effectivement commencèrent à s’accélérer. Maman Odile me mit un dernier plug dans l’anus mais celui-ci était tellement gros que mes sphincters durent se déchirer complètement sous la pression et que je tombais dans les pommes. Lorsque je me réveillais, le plug était retiré et elles me transportèrent non plus sur une table d’auscultation mais sur une table à langer qu’elles avaient du faire faire fabriquer à ma taille. J’étais attaché. Maman Odile me montra le plug plein de traces brunâtres et me demanda de le lécher. Comme je m’y refusais, je fus fessé à tour de bras et du approcher ma bouche de l’objet malodorant et en commencer la succion. Je me rendis compte que cela ne me déplaisait pas et que le goût de merde dans ma bouche me rendait la bite toute raide. Au bout de quelques minutes j’avalais même avec délice les matières brunâtres qui cernaient le plug. Satisfaites elles ouvrirent un placard qui était rempli de couches, de culottes en plastiques de toutes tailles et marques et de changes complets. Une vraie caverne d’Ali Baba du bébé avec tout ce qu’il fallait pour pallier à ses déficiences. Elles m’emmaillotèrent avec plusieurs grandes couches et des plus petites qui me maintenaient le sexe dans une douce pression cotonneuse, le tout recouvert de changes complets qu’elles parachevèrent d’une culotte plastique doublée Rhovyl, elle même garnie de couches grande taille. D’un autre placard plein de vêtements pour bébés elles sortirent une grenouillère qu’elles m’enfilèrent par dessus toute ces épaisseurs. Elles me soulevèrent et me déposèrent par terre en me disant que dorénavant je n’avais plus du tout le droit de marcher debout. La moindre incartade en ce domaine amènerais un usage du martinet dans les règles. Il faut dire qu’avec la masse de couches que j’avais entre les jambes je n’aurais guère la possibilité de rester debout, mon entrecuisse étant élargi au maximum. Je me déplaçais alors à quatre pattes dans la maison sous peine d’avoir le derrière meurtri par les lanières de cuir. Désormais le jour aussi j’avais droit à une tétine pour m’habituer aux seins et aux tétées. Au bout de quelques heures je sentis que non seulement j’avais fais pipi dans mes changes comme d’habitude maintenant même le jour mais qu’en plus une masse incontrôlable de caca s’était insinuée dans mon entrecuisse. Elles me laissèrent sale et seulement à midi, après m’avoir changé, elles me portèrent dans la cuisine. Je fus installé sur une grande chaise haute en bois pour bébé adaptée à ma taille et nourri de bouillie. Après cela elle me donnèrent un biberon de lait. Elles attendaient la visite de Stéphanie, la fille de maman Odette.

« Quand elle viendra, tu auras alors le droit de devenir bébé complètement, de recevoir ton biberon et d’être nourri au sein. »

Cette perspective ne me laissait pas de repos et mon sexe bandait dur à cette idée. Elle fît son entrée quelques heures plus tard alors que je jouais dans mon parc près des mamans. Stéphanie, je te présente notre nouveau bébé, Paul. La honte d’être vu ainsi par une étrangère était telle que sous le coup de l’émotion cela eut pour effet de me faire faire pipi sans aucune retenue. La couche débordait et une large auréole maculait la grenouillère ne laissant aucun doute sur ce qui venait de se passer.

« Je vois que vous êtes déjà bien avancées dans votre traitement. Il fait aussi sa grosse commission dans les couches ? ».

Les mamans acquiescèrent.

« Je pourrais l’avoir bientôt ? « 

demanda-t-elle.

« Encore quelques points de détails comme la réduction de sa verge et il sera entièrement à toi. »

explique maman Odile. Je n’avais pas bien compris la signification de la dernière phrase écoutant d’une oreille distraite et dévisageant la nouvelle venue. Stéphanie me regarda avec un grand sourire. Environ vingt-cinq ans, elle était encore plus grande et corpulente que sa mère et devait dépasser les deux mètres. Blonde, la peau laiteuse, sa poitrine était tout aussi démesurée que celle de sa mère. Deux outres immenses, du cent-vingt E au moins soulevaient son corsage. Sous son Tee-shirt on voyait d’énormes fraises pointer.

« Est-ce que je peux l’allaiter dès maintenant ? « 

interrogea-t-elle.

« Mais oui mon coeur, il en sera très heureux, je suis sûre qu’il en meurt d’envie. »

Enfin la récompense de tous les traitements subit. J’allais maintenant pouvoir porter ma bouche à de gros tétons durcis qui ne demandaient que ça. C’était désormais elle ma nouvelle maman, celle pour laquelle j’avais été préparé. Je sentais déjà que je lui appartenais totalement. Stéphanie ôta son chandail. Elle était nue en dessous à l’exception d’un soutien-gorge d’allaitement qui lui remontait ses seins lourds. On voyait les deux grosses fraises roses de ses tétons, gonflées par le lait, dressées. Elle se mit à coté de moi, me fit asseoir sur ses genoux, posa ses mains sous son sein droit et l’approcha de mes lèvres.

Tête !

Me dit-elle seulement. Je me précipitais sur le téton gros et long et aspirai goulûment. Très vite et à mon grand étonnement, le lait chaud vint gicler dans mon palais, Stéphanie me laissait toucher sa poitrine tout en me parlant bébé et en caressant légèrement mon change. J’étais tellement excité que j’éjaculais dans mes couches. La têtée terminée, elle demanda à me changer, ce que les mamans lui accordèrent bien volontiers. Elle me dit qu’elle aimait les gros derrières de bébés langés et que par conséquent elle allait me langer avec beaucoup de couches. En plus cela évite de te changer trop souvent. Elle me retira les langes souillés et me nettoya sommairement les fesses.

« Tu n’auras droit qu’à un bain par jour, ce qui est largement suffisant. »

Je fus emmailloté avec trois couches en cellulose pour bébé qui me plaquaient bien le sexe et les testicules contre le bas ventre, puis au-dessus quatre grandes couches en cellulose pour adultes incontinents, le tout maintenu par un change. Au dessus elle rajouta encore un change qui serrait encore plus l’ensemble et m’ajusta une culotte plastique ouvrante. Elle alla chercher dans un des placard une nouvelle culotte en plastique doublée Rhovyl, dont elle garni l’intérieur de deux grandes couches adultes et d’un change qu’elle enfila par sécurité.

« Pour cet après-midi, je ne te met pas ta grenouillère, j’ai envie de te voir comme cela. »

Ainsi accoutré elle me descendit de la table à langer. Il m’étais pratiquement impossible de me redresser pour le plus grand plaisir de ma nouvelle maman. Seule la position du petit bébé larve qui se traîne par terre étais tenable. J’étais à nouveau très excité et tentais de me masturber discrètement en frottant mes couches contre le sol. Les mamans ne tardèrent pas à s’en apercevoir et prirent la décision de me faire passer dès ce soir le dernier stade. Je ne voyais pas bien ce qu’elles pouvaient faire de plus et j’attendait ce moment de déchéance supplémentaire avec inquiétude. Après la sieste passée dans un petit lit à barreaux, elle me posèrent sur le table à langer et me retirèrent mes couches. Une fois encore je fus sanglé ce qui me fit peur et je laissais échapper un flot de pipi et un peu de caca sur l’alèse. Une grosse tétine bâillon me bloquait la bouche. Maman Odile s’absenta un instant et je la vis revenir avec une sorte d’étui en plastique semi dur percé d’un trou au bout pour laisser passer l’urine qu’elle lubrifia à l’intérieur.

« Nous allons te redonner un sexe de bébé. Le tien est beaucoup trop gros et il n’est pas normal que tu bandes à tout bout de champ. »

L’inquiétude avait réduit ma verge au minimum, mais maman Odile eut quand même quelques difficultés à me mettre l’étui. Je fus remmailloté avec cet objet de torture. Je le conservais plusieurs semaines. De temps en temps, elles me le retiraient pour que mon sexe ne s’infecte pas et à deux reprises elles réduisirent la taille de l’étui. C’était extrêmement douloureux et à chaque fois que je bandais mon sexe congestionné souffrait engoncé dans cette gaine. Ce furent des moments atroces. Bientôt mon sexe ne ressembla plus qu’à un tout petit appendice de bébé rabougri et mes testicules subissant un traitement analogue avaient aussi réduit de volume. Après cela je ne pouvais plus bander du tout. Curieusement le conditionnement auquel j’avais été soumis faisait que le simple passage de l’urine dans l’urètre et la défécation me procurait une très forte excitation et il m’arrivait dorénavant d’éjaculer tout en faisant pipi, sans même être en érection. Stéphanie me donnait tous les matins ses gros seins à téter, sucer, mâchouiller. Combiné à mon incontinence complète cela me procurait une joie ineffable. Je fus bientôt mis dans la même nurserie que Bernard. Il était lui aussi complètement incontinent de jour comme de nuit et ne vivait plus que par la têtée que les mamans lui prodiguaient à tour de rôle. Grâce à un traitement hormonal très particulier leurs seins pouvaient produire du lait alors même qu’elles n’avaient pas eu de bébé depuis des années. Elles avaient pourtant des poitrines gonflées et la tétée leur procurait des orgasmes aussi intenses que la pénétration ou le léchage de leurs clitoris. Parfois, avec Stéphanie, les mamans aimaient organiser des jeux crades avec leurs bébés. J’étais forcé de sucer la bite de Bernard qui puait l’urine et devait aussi parfois manger ses déjections. Comme elles savaient que cela nous faisait plaisir nous étions régulièrement engodés. Afin que nous puissions bien les sentir dans nos petits trous déjà très élargis les godes étaient monstrueux. Le dernier en date devait bien faire dans les dix centimètres de diamètre. Habituellement Bernard et moi laissions rapidement échapper de nos sexes ridicules un flot de sperme que chacun devait ensuite avaler sur le sexe de l’autre. Les mamans parlaient de nous hormoner pour faire de nous des bébés filles mais cela est une autre histoire…

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