Nathan Chevalier
Journal Intime d'un mouilleur de couches.

Jérôme – Chapitre 5

Chapitre 5 – L’apprentissage de la honte

Au bout de quatre semaines de traitement, je n’étais plus moi-même. La blonde me le fit d’ailleurs remarquer. Selon elle j’avais fait de beaux progrès. Mes jambes et ma taille portaient les stigmates des chaînes de la culotte d’apprentissage. Mon sexe était devenu comme inanimé. Un lambeau de chair ridicule tout juste bon à remplir la couche Mon anus, dilaté chaque jour ne retenait plus grand chose et tout allait bien sur dans la couche. Le tuyau de caoutchouc dans mon zizi était devenu plus énorme encore ! La blonde m’assura que dans un mois je pourrais finalement me passer de tuyau mais que pour l’instant les muscles de la vessie n’étaient pas suffisamment dilatés. Quand je lui posais des questions à propos de Yves, elle me giflait alors violemment, me disant que cela ne me regardait pas ! Puis elle me lança un challenge. Si je le souhaitais, je pourrai me passer de la culotte. Ce cadeau n’était pas bien sûr sans contrepartie. Voici à peu près ce qu’elle déclara ce fameux soir :

« Je vois bien que ta culotte te fait mal et que, malgré la pommade que je te passe sur tes petites blessures, ça ne se soigne pas très bien. Coté plaisir solitaire j’ai remarqué que ton zizi reste mou quand je te masturbe vigoureusement. Les médicaments font leur effet. Ton anus est lui aussi devenu très souple et il devient très difficile de te retenir, c’est un peu le but du jeu. J’imagine assez mal que tu puisses jouir en solitaire désormais. Je veux bien te faire confiance maintenant, mais tu vas me promettre de ne jamais toucher à ton tuyau ! Est-ce bien clair ? Si tu y touches une seule fois, je te promets que tu ne feras plus jamais caca normalement ! Et ce n’est pas une plaisanterie ! »

Je savais qu’elle ne plaisantait pas et je fis donc ce qu’elle voudrait pourvu que je n’aie plus à remettre cette maudite culotte.

« Autre chose maintenant ! Tu as passé brillamment le première, étape voici la seconde : Tu vas devoir apprendre à montrer tes couches et tes culottes en public pour vivre mieux avec ta honte. Pour ce faire, voici ce que tu vas porter à compter de la semaine prochaine ! Dès que tu rentreras du travail, tu te changeras et tu mettras ceci. »

Elle me donna un grand sac de courses de vêtements divers et là mon cœur se mit à battre. Voici ce que je découvris : des shorts, et encore des shorts ultra courts et très échancrés, un pantalon de jogging blanc et quasiment transparent, des tee shirt courts et cintrés d’adolescent. Moi qui avais la passion des belles fringues, je me retrouvai privé de mes vêtements habituels. Elle voulait me voir habillé tel un gosse, short et tee shirt !
Puis comme pour enfoncer le clou elle reprit :

« Mais pour les journées de travail j’ai jugé qu’il était plus adapté de porter ce genre de vêtement !  »

D’un geste élégant elle sortit du second sac un pantalon puis un autre ! A première vue ils semblaient normaux.

« J’ai remarqué que l’on ne voit pas assez tes couches sous tes pantalons, aussi tu vas me donner les tiens et adopter ceux-là ! Tu verras, ils sont très agréables à porter. Assez larges à l’entrejambe, élastiques à la taille, et bien moulants. Tes petits camarades pourront deviner sans problèmes quand ta couche sera pleine ! Allez, prends ça et va me chercher tes vieilles affaires bien trop discrètes ! »

Dépité je ne répondis rien. Je ravalai ma salive, pris ces fringues honteuses et alla lui chercher mes vêtements. A peine je les lui avais-je donnés qu’elle me regarda droit dans les yeux et les découpa en pièces avec des ciseaux les uns après les autres, comme pour marquer son autorité ! Je me mis de nouveau à pleurer. Elle s’empressa de me consoler sitôt son œuvre machiavélique terminée. Toujours selon le même scénario, en me caressant la tête d’une main et me tapotant mes fesses rembourrées de l’autre. Reprenant comme si elle récitait une leçon apprise par cœur, elle me murmurait toujours :

« Ce n’est pas grave mon petit, ce n’est pas grave de porter des couches à ton âge, tu sais ! Tu es mon petit bébé et il faut bien que je m’occupe de toi. Les méchants qui se moquent de toi son des idiots ! Je veux que tu sois fier de faire pipi et caca dans ta couche. Tu es un beau petit bébé avec ta couche culotte, tu es mignon à croquer ! Allez fais-moi un gros pipi pour faire plaisir à nounou ! »

Étrangement à chaque fois qu’elle prononçait cette dernière phrase, je sentais des spasmes dans mon anus ainsi un flux d’urine sortant du tuyau qui se déversait dans la couche. des contractions involontaires. Je crois qu’elle le savait. Je compris par la suite que ce n’était qu’un jeu et qu’elle me conditionnait telle une fine psychologue. Elle était à la fois extrêmement sévère et délicieusement douce. Quand elle me mettait mes couches pour la nuit, elle avait pris l’habitude de me masser mes tétons. Ils étaient extrêmement sensibles et ma plus grande honte était de prendre plaisir dans ces séances de nursing. Elle semblait terriblement complice et me traitait de plus en plus comme un nourrisson. Elle s’attardait depuis trois semaines sur mes tétons, s’amusant à me parler comme à un bébé tout en les titillant. Les quatre semaines qui suivirent furent véritablement éprouvantes. A commencer au travail, où les pantalons étaient en effet peu discrets. On pouvait voir la couche à contre-jour car le tissu était trop fin et la coupe trop moulante. Quand ma couche était pleine on devinait nettement mes fesses rembourrées. J’étais mort de honte. Séverine, la fameuse secrétaire perverse jubilait. Elle ne cessait jour après jour de me faire remarquer que l’on voyait mes couches et dans l’oreille me glissait souvent :

« Tu sais que tu sens le bébé ! »

Je fus en une fin d’après-midi pluvieuse convoqué à la direction. Je m’attendais de toute façon à ce qui allait suivre, car la petite salope me répétait régulièrement que Mr Griaud, mon boss, commençait à en avoir marre de me voir déambuler les couloirs avec la couche au cul. Que l’entreprise n’était pas une nurserie ! Il me demanda des explications sur le pourquoi de mon incontinence. Était-ce temporaire ou définitif ? Je prétextais alors un dysfonctionnement neurologique dû à une rupture du nerf sacré (c’est l’explication la plus vraisemblable que ma nurse m’avait conseillé de donner). Je dû me résigner à lui avouer que c’était selon les médecins irréversible. Mon patron m’annonça alors que je ne pouvais pas continuer à exercer mes fonctions avec la couche au cul. Il argumentait ses propos en me parlant de l’image de l’entreprise. Ne souhaitant pas me licencier, car ce n’était pas un motif valable, je fus donc relégué au service des archives, caché aux regards des clients. Il me dit alors que Mademoiselle Renier (Séverine) prendrait mon poste et mon bureau. La salope, j’étais sûr qu’elle n’était pas étrangère à l’affaire et qu’elle avait dû mener une bonne petite campagne de dénigrement à mon encontre. J’hallucinais ! Le lendemain matin j’arrivai à mon bureau et la salope avait déjà pris possession des lieux. Mes affaires étaient rangées dans le couloir, les couches que je cachais bien en évidence ! Tout le monde pu assister admirer mes couches et culottes exposées comme des trophées et les rires étouffés ne manquaient pas. Comme pour enfoncer un peu plus le clou, elle se permit cette réflexion désagréable dès mon arrivée :

«Ça pue ici ! L’odeur me fait penser à une chambre de gosse qui fait encore dans ses couches la nuit ! J’ai beau aérer, l’odeur est encore présente. C’est pourquoi j’ai sorti du bureau tout ce qui ne sentait pas bon, à commencer par tes culottes plastiques et tes couches. Je vais demander à la femme de ménage de m’enlever cette pestilentielle odeur ! On se croirait dans une nurserie, et je déteste les gamins ! Comment as-tu pu supporter cette odeur ? Oh ! Excuse-moi, c’est vrai que tu n’as pas vraiment le choix ! Je suis désolée. Tu verras, tu seras bien au premier sous-sol. Là-bas tu pourras mouiller tes couches autant que tu veux. »

Mortifié, je dû déménager mes affaires et bien sur mes paquets de couches du troisième étage vers le premier sous-sol sous le regard amusé de cette chienne. Le seul point positif de cette affaire est que je n’avais pas été licencié, c’était déjà bien ! Je continuai alors ma vie professionnelle coupé du monde, la tête dans les archives dans un tout petit bureau, où je n’avais rien pour cacher mes paquets de couches. La vie reprit son cours. Quand je rentrais du travail, je devais mettre mes seuls shorts autorisés ainsi que ces teeshirts. Je fut les premières fois mortifié quand j’allais faire mes courses. Les shorts trop échancrés laissaient voir la culotte plastique aux entournures. Les enfants étaient les premiers à avertir leurs mères quand ils me voyaient. Je me rappelle de la première sortie où, arrivé à la caisse, j’entendis une gamine derrière moi dire à sa mère :

« Regarde maman, le monsieur il porte une couche comme les bébés ! »

Je me sentais mortifié, mon cœur battait et je me sentais comme piégé !
Et comme sa mère faisait comme si elle n’entendait pas, la petite reprenait de plus belle à voix haute :

« Mais regarde, on voit la couche ! Pourquoi il porte une couche, dis maman ? »

Sa mère lui glissa à l’oreille une réponse que je pu entendre :

« Il a des problèmes et doit porter des couches, et maintenant tu te tais ! »

De nombreuses personnes purent entendre la gamine et ne manquèrent pas de reluquer ensuite mes fesses. Une fille de quinze ou seize ans, accompagnée par deux de ses copines à la caisse voisine, ne put étouffer un fou rire, la situation était grotesque. J’étais rouge de honte, je payais la caissière, pris mes courses et rentrai chez moi au bord des larmes. Par la suite je m’habituais progressivement aux quolibets et remarques innocentes des enfants qui avaient, du fait de leur petite taille, une vue imprenable sur mes couches. J’évitais au départ de sortir pour autre chose que les courses. Mais paradoxalement plus les jours passèrent, moins j’avais honte de ce que j’étais devenu. Bien sûr il me fallait affronter quotidiennement les regards amusés, parfois curieux mais le plus souvent méchant des gens que je croisais. Les enfants étaient certainement les plus terribles, surtout quand ils étaient en groupe. Une bande de gosses qui traînait régulièrement dans le supermarché de mon quartier m’avait repéré et bien sûr ils prenaient un malin plaisir à m’humilier quand je passais devant eux. Un jour, lassé de leurs réflexions et de leurs rires sadiques qui me faisaient rougir de honte, je me suis énervé et là ce fut pire encore. Je dû dans ma colère gifler un des gosses qui tenta ce jour-là de me baisser mon short à mon passage pour voir la couche. Il m’insulta de tous les noms me promettant une correction à la sortie. En effet, une fois mes courses réglées je quittai le magasin et au bout du parking, je vis le gosse accompagné par un de ses fameux « grand frère protecteur » ! La bande se massa progressivement autour de moi. Tous les petits diables étaient là avec leurs aînés. Je reçu trois ou quatre gifles par un des plus vieux, tandis que le gosse m’avait cette fois-ci baissé mon short jusqu’aux genoux… On me demanda des excuses que je donnais sans rechigner. Ma couche fut tâtée et reluquée par tous les gosses réunis. Ils riaient aux éclats et j’entendis alors des phrases comme :

« Tu crois qu’il a besoin qu’on lui change sa couche. »
« Oui ! Elle est bien mouillée, je l’ai vérifiée ! Ça fait ploc, et je crois bien qu’il a fait caca aussi ! »
« C’est drôle on dirait un bébé habillé comme ça avec juste une couche. »

Le plus vieux repris à son tour :

« Maintenant tu ne touches plus aux gosses, sinon je te défonce la tête ! T’as compris ? » Donne-moi ton short, si tu ne veux pas que j’m’énerve ! J’vais pas t’cogner, juste te donner une bonne leçon ! »

A ce moment-là je finis d’ôter mon short pris entre la peur de me faire taper et celle d’être vu par les clients du supermarché. Puis pour finir il me donna un coup de pieds dans mes fesses rembourrées, j’eu juste le temps de prendre mes sacs de courses et je parti à toutes jambes. Je croisais alors (c’est toujours dans ces moment-là) une collègue de travail, je tournai la tête et fit semblant de ne pas le reconnaître. Je du croiser environ une bonne centaine de personnes qui, intriguées par ma tenue singulière, me dévisageaient ! Puis après dix minutes de marche qui me semblèrent durer une éternité, je croisais ma belle voisine dans le couloir du bas. A sa vue je fondis en larme ! Je lui expliquai alors ma mésaventure et elle m’invita à prendre un verre chez elle pour me calmer. La situation était grotesque, elle me fit asseoir sur le canapé qu’elle alla recouvrir d’un tapis de sol pour bébé.

« C’est juste Pour ne pas tacher le canapé, vous me comprenez ?! »

Me lança-t-elle alors d’un air compatissant et lucide. Bien sûr que je comprenais ! Ce que je voyais c’est que j’étais définitivement considéré un mouilleur de couches. Je restai alors près d’une heure avec juste ma couche et mon tee shirt alors qu’elle était vêtue d’une belle robe fushia. Une fois la pression retombée, je rentrai chez moi la couche pleine et le cœur apaisé. La blonde, elle, œuvrait de son coté à me dilater l’urètre chaque semaine par des tuyaux de plus en plus gros. Mon anus subissait le même sort. Je pu me rendre compte du diamètre des tuyaux qu’elle me faisait porter. La toute première semaine elle m’avait posé une sonde de Fr16 soit 5.3mm de diamètre et la dernière semaine elle me mit une sonde Fr36 soit 12 mm de diamètre. Chaque semaine, pendant un mois, le tuyau grossissait de 1,3mm de diamètre soit deux tailles supérieures. Le dernier mois elle diminua la progression des tailles. Je paniquais vraiment car, en dialoguant sur des newsgroups et en effectuant des recherches sur ce genre d’objets, j’eu de terrifiantes de réponses. Tout d’abord le site de bardex, inventeur de la sonde de folley, recommandait de ne pas dépasser la taille Fr 20 pour les hommes (les tailles supérieures étant destinées au rectum). Selon bardex, dépasser la taille Fr 20 provoquerai de graves lésions au niveau du muscle recenseur et empêcherai alors le muscle de se refermer normalement. Puis je lu différents articles qui parlaient clairement de dysfonctionnement urinaire et d’incontinence totale en cas d’utilisation prolongée de plus d’une semaine ! L’utilisation prolongée d’une sonde mettait aussi gravement en danger les capacités d’érection. Pour mon cas je ne savais plus ce que c’était de bander car elle me donnait toujours ces fameuses pilules et mon sexe était depuis désespérément minuscule sans la moindre once de virilité. Non seulement la blonde avait dépassé au bout de dix semaines la taille maximum mais avait continué à augmenter les tailles. Autant vous dire que mon sexe ne ressemblait plus désormais qu’à un énorme trou béant ! La dilatation avait fait son œuvre. Après deux mois de calvaire, j’avais subi toutes les humiliations.

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