Nathan Chevalier
Journal Intime d'un mouilleur de couches.

Jérôme – Chapitre 4

Chapitre 4 – la descente en enfer

Les jours qui s’en suivirent me transformèrent peu à peu. Je vivais un calvaire… Tous les matins mes couches étaient saturées de pipi, parfois de caca et j’avais dû couvrir mon lit d’une alèse en PVC ainsi que d’une housse en éponge. L’odeur de pipi ne me quittait plus. J’avais beau me laver chaque matin et me parfumer, l’odeur persistait. Je commençais à haïr cette culotte, car je ne pouvais désormais plus toucher mon zizi. Chaque jour me diminuait un peu plus. J’avais toujours peur de mouiller mon pantalon au travail, car chaque fin de journée mes couches étaient complètement trempées. Je dû d’ailleurs changer ma garde-robe et opter pour des pantalons plus adaptés à mes couches. A plusieurs reprises je dû entrer du travail le pantalon auréolé de taches de pipi à l’entrejambe. Quand j’en parlais à ma geôlière, elle me répondait simplement que rien ne m’empêchait d’apporter des couches de rechange au travail. Puis comme pour m’obliger à suivre ses conseils elle me fit avaler pendant une semaine des pilules qui eurent pour effet d’augmenter le taux d’émission d’urine et liquéfier mes selles. Je n’avais plus le choix et je du apporter des rechanges au travail. Je dû invoquer des problèmes de vessie à mes collègues afin de justifier ce qu’ils avaient déjà pu remarquer. Je vivais dans une honte permanente. Rapidement toute l’entreprise su que je portais des couches et les quolibets ne manquaient pas. Bien sûr personne n’en parlait devant moi, mais j’entendais souvent des rires à peine étouffés ou des conversations qui s’arrêtaient net quand j’empruntais les couloirs. Je dû donc apprendre à gérer cette humiliation permanente. A la fin de la première semaine, je fus enfin libéré de ce carcan. La blonde me fit remarquer que mon sexe avait diminué. Elle m’ôta la sonde, puis me nettoya bien partout. Je ressentais déjà des contractions involontaires et étranges au niveau de mon zizi. Elle me répondit que c’était l’effet secondaire de ce tuyau de caoutchouc qui, porté régulièrement, dérègle le fonctionnement vésical. Elle sembla assez satisfaite des premiers résultats. Afin de s’assurer que les médicaments commençaient à faire effet elle commença à me masturber vigoureusement. C’était très humiliant de se sentir ainsi traité et malgré ses caresses vicieuses, je ne parvins qu’à une érection molle et une jouissance ruinée. Car elle a cessé de me masturber quand elle m’a vu commencer à jouir. Sentir le sperme couler sans jouissance, décidément elle s’y connaissait en domination. Elle semblait contente du résultat, Puis elle me remit une sonde plus grosse que la précédente. Quand je lui fis remarquer ce détail, elle me répondit simplement que chaque semaine le diamètre de la sonde serait plus important. Elle me signala qu’au bout de trois mois je devrais normalement être suffisamment dilaté et déréglé pour ne plus avoir à porter de sonde. Cette dernière information me glaça. Coté anal, j’étais redevenu continent depuis 3 jours, aussi elle décida de me prodiguer un lavement avec cette saloperie de sonde à ballonnet. Mes cris n’arrivèrent pas à à la déconcentrer. Je me sentais déchiré de l’intérieur. C’était encore plus douloureux que la dernière fois. Après 15 minutes de souffrance, elle enleva la sonde anale et me mis un gode énorme dans les fesses. Elle semblait ravie de voir que ça glissait tout seul. Etrangement, je voyais cette énorme chose s’introduire dans mon anus sans rien ressentir. Cela l’amusait beaucoup, mais pas moi.

« Voila Bébé! C’est parfait. La dernière fois j’avais mal calculé ta résistance anale. Là, j’ai augmenté le gonflement de la sonde pour te permettre à ton anus de rester ouvert une bonne semaine. J’ai fini le travail avec mon ustensile favori :Un gode de 8cm de diamètre que tu as avalé sans problèmes. On fera le point semaine prochaine.Je veux que tes couches soient souillées de pipi et de caca, comme les bébés. « 

Elle me remit ensuite la maudite culotte tout en me promettant qu’elle me l’enlèvera quand elle me jugera suffisamment dressé et obéissant. En attendant elle me dit qu’elle ne me faisait pas encore confiance. Je n’étais plus qu’un jouet humain à ses yeux. Les semaines se succédèrent et je plongeais dans une déprime profonde. Chaque fin de semaine, le rituel se répétait. J’appréhendais le vendredi soir. C’était pourtant le jour de la libération de cette maudite culotte, mais aussi le jour où le diamètre de la sonde augmentait. Elle avait pris pour habitude de tester ma propreté. Libéré de la culotte et de la sonde une petite heure par semaine. Le soir je pleurais régulièrement. Dans ces moment-là la blonde devenait tendre. Elle me prenait dans ses bras, mais ne voulait rien savoir quand je lui demandais d’arrêter ce jeu. . Elle me tapotait la couche d’un geste affectueux en me disant que je n’avais pas à avoir honte de faire dans mes couches. Que je n’étais pas le seul à porter des couches, et que j’étais tellement plus mignon avec mes culottes de bébé. Je me sentais redevenir gamin, et paradoxalement j’aimais quand elle me tapotait le derrière. A ce moment précis j’avais souvent des contractions incontrôlées du muscle anal et vésical. Elle était ravie du résultat. Je me sentais tellement diminué ! J’achetai maintenant un paquet de couches par semaine. Des culottes Tena Pants pour la journée et des changes complets pour la nuit. J’avais besoins de deux couches Tena pour la journée et d’un change pour la nuit. Autant dire que ma voisine me voyait régulièrement monter les escaliers avec mes honteux achats. La poubelle de l’immeuble était aussi remplie de couches sales. Ma voisine, Mme Chauvet, prit d’ailleurs un malin plaisir à me faire remarquer que je devais fermer hermétiquement mes sacs de couches sales. Qu’elle comprenait que je fasse dans mes couches, mais que la poubelle sentait le pipi et le caca et que c’était très désagréable. Au travail c’était encore la même comédie. Une secrétaire du genre bavarde est un jour passée me voir pour m’apporter des dossiers d’archives. Elle me dit clairement avec un sourire cynique que je devais faire quelque chose pour masquer ces odeurs de couches sales. Que je sentais le bébé qui se néglige et que ce n’était pas très agréable pour les autres. Elle ne m’aimait guère, car j’avais par le passé tenté de la draguer. Voyant qu’elle refusait mes avances je l’avais un peu dénigré auprès de la direction. Cette salope trouvait dans mon enfer quotidien un bon moyen de vengeance. J’ai appris rapidement que c’est elle qui faisait courir les rumeurs les plus dégueulasses sur mon compte. Agée d’environ 27 ans, elle avait su se frayer une bonne protection auprès du responsable technique avec qui elle couchait. La petite salope savait y faire et pas mal de monde la craignait du fait de ses relations privilégiées. De mon coté je devenais de plus en plus sensible aux évènements. Quand la pression montait au travail, je sentais une boule me serrer la poitrine et je ne trouvais plus la force de combattre. Je me réfugiais alors dans mon bureau et pleurais comme un gosse. Je sentais ma couche se remplir inexorablement . Les placards de mon bureau avaient vu des couches faire leur apparition ainsi que plusieurs culottes pvc. Bien que ces dernières étaient à l’abri des regards, j’avais toujours peur qu’elles soient exposées par des personnes mal intentionnées. Aussi je prenais toujours un soin particulier à bien fermer mon placard en quittant le bureau. Quand je devais changer ma couche en pleine journée, je glissais toujours discrètement un culotte Tena sous mon pull, mais je ne pouvais cacher par contre la couche sale que je déposais alors dans la poubelle des WC.

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