Nathan Chevalier
Journal Intime d'un mouilleur de couches.

Jérôme – Chapitre 2

Chapitre 2 – La visite surprise

Vers 21 heures, on sonna à la porte ! Je vis une jeune fille blonde d’1m70 et d’une vingtaine d’année environ. Elle semblait apeurée et inquiète. Elle portait une tenue d’écolière anglaise, bas blancs chaussures noires, robe à motif écossais, une blouse nylon blanc et un petit nœud sur les cheveux. Que me voulait-elle ? D’une voix tremblante elle me demandait si elle pouvait entrer discuter à propos de Yves… Je lui offris l’hospitalité et tandis qu’elle allait s’asseoir sur le canapé je pu voir qu’elle portait une culotte à frou frou d’un autre monde. J’avais peur de comprendre le pourquoi de sa visite, mais je voulais connaître la teneur de ce qu’elle souhaitait me confier. Après quelques banalités d’usage, et un petit café elle se lança :

« Yves m’a demandé de venir te voir. Je souhaite que tu écoutes ce que j’ai à te dire. Si tu as des questions, tu me les poseras à la fin de mon récit, veux-tu ? Voilà, je m’appelle Marc, j’ai 25 ans et j’ai rencontré Yves il y a maintenant six mois. Oui, les apparences sont trompeuses, je suis un homme ! Ma voix est encore un peu grave, mais Yves m’a assuré que dans trois mois je deviendrai complètement femelle. Ce sont ses propres mots, tu sais ? Avant de t’expliquer qui est Yves je vais te parler de moi. J’avais un fantasme avant de connaître Yves. J’aimais m’habiller en petite fille et porter des tenues comme celle-ci. J’aimais aussi m’imaginer prise en main par un mec qui me prostituerai. Si je te dis j’aimais, c’est parce que depuis notre rencontre il a transformé mon fantasme en réalité. Je suis hétéro et il m’a obligé à faire de mon fantasme une réalité quotidienne. Cela fait maintenant trois mois que porte jour et nuit des vêtements féminins. Cet homme est très fort, et je n’ai pas réussi à échapper à son contrôle. J’ai bien essayé au début, mais rapidement il m’a fait comprendre que si je souhaitais conserver mon travail il me fallait obéir. Je travaille comme ingénieur aéronautique depuis un ans et tu vois ce qu’il a fait de moi ! J’ai été rebaptisé Samantha, parce que selon lui ça fait salope. Une pute, il m’a transformé en petite pute ce salaud !. Un objet de fantasme pour petits vieux vicieux et notables pervers. Il est très organisé et extrêmement dangereux. Maintenant, il me prostitue à son vaste réseau de connaissances. Ma chambre a été transformée en lieu de débauche, et quand il ne me traîne pas dans des soirées éducatives, il envoie des clients directement chez moi ! Je dois alors les recevoir et mes prestations sont notées dans un carnet de dressage. Je me sens alors vraiment humiliée, car je ne connais jamais à l’avance quand viennent ces types. Souvent je dois les supplier de me mettre une bonne note et de ne pas critiquer ma tenue. Je dois par conséquent être toujours irréprochable, parfaitement habillée et maquillée. L’accueil doit être lui aussi sans fausses notes. Tantôt je suis une écolière que l’on fouette, tantôt je suis transformée en bonne petite suceuse obéissante et goulue ou soubrette bonne à baiser. Dans ces soirées très spéciales je suis pénétrée toute la soirée par tous les orifices. Parfois cinq, souvent six ou sept, ils se relayent. Au début je ne pouvais pas avaler leur sperme. Alors je fus giflée jusqu’à ce que j’obtempère. Les deux premières semaines les hommes avaient pour ordre de ne se vider que dans ma bouche, ils adoraient. A plusieurs reprises j’ai dégueulé, mais ils s’en foutaient pas mal. Puis à force de me faire limer les dents, je fini docilement par accepter toutes ces queues et tout ce sperme. Puis il se mirent en tête de me remplir le cul. En me traitant de bonne pouliche de chienne, de petite salope, de truie et mon cul devint à son tour un garage à bite et réservoir de sperme. Quand je rentre à la maison, le sperme coule entre mes cuisses, j’ai les fesses endolories par le martinet et j’ai souvent la bouche pleine de ce goût âpre. Tu ne peux pas imaginer à quel point je me sens diminuée. Quand le lendemain je retourne au travail, je dois garder mes sous-vêtements de salope, comme Yves aime à les qualifier. C’est d’ailleurs lui qui me les achète. Ce soir il m’accorde une soirée de répit pour venir te parler. »

Puis Elle stoppa net son récit. Ses yeux brillaient et j’étais comme hypnotisé par cette drôle de créature. Un visage tellement féminin et une voix masculine augmentaient ce trouble. J ‘étais sidéré ! Où avais-je mis les pieds ? Elle se mit à sangloter comme un enfant qui vient de faire une bêtise. Les larmes coulaient et ruisselaient le long de ses joues roses. Je suis alors parti lui chercher un paquet de mouchoirs en papiers. Le silence emplissait l’appartement. Elle reprit :

« Si tu savais comme je regrette cette rencontre. Je voulais juste m’amuser au début. Il m’a humilié réduite à parler de moi au féminin et moi comme une conne je l’ai fait. Dans son vaste réseau de connaissance il y a des médecins des chirurgiens des notaires des patrons d’entreprises enfin un gratin de notables intouchables. Ce réseau lui permet en échange une immunité judiciaire et l’aide pour résoudre ce qu’il appelle ses problèmes techniques. En ce qui me concerne je suis sous traitement hormonal contre mon gré bien sûr. On me fait prendre aussi des médicaments normalement réservés aux personnes atteintes de paraphilie, troubles sexuels sévères – obsessions chroniques. Ces médicaments associés m’empêchent d’avoir une érection normale, bloquent la production de sperme et me font pousser les seins. Voilà à peu près résumé ce que je subis. Mais si je suis là ce soir, c’est pour te parler d’Yves. Tout comme je le fais ce soir, une personne est venue me voir le lendemain de ma rencontre avec Yves pour me parler de son éducation puis de Yves lui-même. C’est un peu comme un cérémonial de bienvenue, une coutume perverse. Yves aime dresser de jeunes hommes aux fantasmes singuliers. C’est lui qui me l’a dit. Son plaisir pervers est de transformer un fantasme temporaire et pulsionnel en réalité quotidienne. Un peu comme un tableau de chasse, il se vante d’avoir déjà dressé une bonne dizaine de jeunes victimes. Il ne les lâche que lorsqu’il est sûr que ses victimes sont suffisamment conditionnées pour ne plus faire la différence entre leur fantasme et leur vie quotidienne. Pour ma part, j’en ai honte mais je commence à ne plus pouvoir me passer des hommes. Je commence à prendre plaisir à avaler leur semence et les sentir se vider en moi. C’est terrible ! et Yves l’a compris. J’aime me maquiller, me faire belle et lire des revues féminines. Je ne connais pas ton fantasme, mais fais-moi confiance, tu vas apprendre à aimer quotidiennement cette nouvelle vie. As-tu des questions ? »

Un autre long silence suivi cette petite question finale. Ses yeux me fixaient longuement comme pour épier ma moindre réactivité. D’un geste élégant elle passa la main dans ses cheveux, sa perruque vraisemblablement. J’avais beau me convaincre qu’en face de moi la silhouette qui me regardait tendrement était un homme, je ne voyais qu’une fille docile et bien élevée les jambes serrées et les mains sagement posées sur ses cuisses. Un visage d’ange malgré les étapes qu’elle subissait encore. Sans doute le résultat d’un conditionnement réussi. De mon côté tout semblait suspendu. Des questions se mêlaient en vrac dans mon esprit sans que je puisse en faire la synthèse. En fait son discours ne me laissait pas vraiment le choix des armes. Je lui demandais tout de même si elle avait déjà contacté la police afin d’en finir avec ce cauchemar ! Elle me répondit par l’affirmative, et m’avoua alors que le procureur lui même était ami avec Yves et qu’il faisait partie de la bande de vicieux. Yves ne fut pas très long à réagir ! Il devint furieux, passa chez elle alors qu’elle était arrêtée pour dépression. Il commença par la frapper violemment les fesses et les cuisses avec un martinet. Puis elle du mettre un ensemble de pute et une tenue affriolante de soubrette. Il la voulait désirable et attirante. Ses suppliques restèrent sans réponses. Elle fut enfin conduite vers 23h00 dans un parc en lisière de la ville, où les copains de Yves l’attendaient déjà de pied ferme. Ses bourreaux s’amusèrent à l’attacher à un tourniquet dans le parc de jeu, le cul bien en l’air en position de levrette,. Ils commencèrent par jouer avec elle en faisant tourner le tourniquet et la fessant au passage. La tête lui tournait et la peur l’avait réduite à l’état de prostration. Ils invitèrent ensuite les personnes curieuses à venir s’amuser en elle pour dix francs la partie Le jeu malsain consistait en une ronde d’hommes autour du tourniquet. Yves faisait tourner ce dernier, les fesses finissaient par pointer dans une direction ainsi que ses lèvres. A chaque partie deux gagnants se partageaient alors le gâteau. Le male situé devant sa bouche lui prenait alors sa tête et lui forçait alors les lèvres avec son sexe tumescent. Ils finissaient par se vider en elle au plus profond de sa gorge, et se faisait gifler au moindre haut le coeur. Le mâle derrière elle quant à lui, la violait sans ménagement pour enfin se vider aussi en elle. Elle pleurait mais plus elle criait sa détresse, plus elle semblait exciter la meute formée autour d’elle. Attachée en levrette le tourniquet la rendait malade. Une bonne trentaine de bites vinrent la défoncer méticuleusement à tour de rôle. Le sperme ruisselait de ses cuisses et les hommes tels des bêtes continuaient à labourer ses orifices. Les hommes se servaient de sa bouche comme d’un vagin et lui baisaient la bouche à grand coup de bites. Certains lui maintenaient la tête pour qu’elle avale le plus profondément possible leur semence maudite. Elle du vomir cinq à six fois, écœuré par toute cette semence. Elle fut cette fois-ci vraiment violée et considérée comme une moins que rien. Quand elle reprit conscience elle était allongée sur le tourniquet, il faisait jour et du rentrer, à la fois humiliée et terrorisée à pied jusqu’à chez elle. Ne cessant de pleurer, de vomir, écœuré par ce goût âpre de sperme qui ne la quittait plus. De ses jambes le sperme coulait lui laissant un souvenir indélébile de sa tentative de dénonciation. Elle me demanda ensuite de ne pas tenter d’échapper à Yves. Le message était on ne peut plus clair. Il y eut un autre silence qui fut cette fois-ci interrompu par un coup de sonnette.

« C’est Yves » me dit-elle !

J’ouvris la porte et je découvris une belle femme Habillée en tailleur strict Chanel !

« Vous devez être Jérôme? » me lança-t-elle alors.

Je balbutiais un oui hébété et surpris.

« Je viens pour la piqûre. » fit elle en riant. « Yves me mandate pour prendre le plus grand soins de vous »

Reprit-elle en entrant chez moi. A ce moment là elle vit Marc et s’esclaffa :

« Mais qui je vois là, c’est ma petite Samantha qui a mis sa plus belle tenue ? »
« Bonjour madame. »
répondit marc d’une voix docile et féminine.

Le comportement de marc changeait soudain, son attitude et son sourire forcé montrait vraisemblablement que cette créature devait avoir du pouvoir sur Marc. Elle s’approcha de Marc et d’un geste très tendre commença à lui parler comme à une adolescente.

« Tes petits seins poussent dis-moi ! Tu deviens une vraie femme, montre-les moi que je m’en rende compte ! »

Marc déboutonna son chemisier, et la femme se mit alors à lui palper méthodiquement ses mamelons.

« Tu as fait des progrès, regarde comme ils ont grossi depuis la dernière fois. Tu dois bien faire un petit 85B maintenant, c’est bien ma chérie. »

Marc avait le bout des seins qui pointaient comme une fille en chaleur sans doute dû au massage expert de la femme. Elle lui dit alors :

« J’espère que ton petit clito n’est pas dur lui non plus ? Tu sais que Yves déteste quand ton clito durcit. »

D’une main experte alla fouiller dans la culotte de marc que je pu admirer. C’était une culotte rose bonbon avec de la dentelle aux échancrures. En effet son sexe était minuscule et totalement inerte. Elle le branla vigoureusement pour vérifier que tout était normal puis vint lui tâter d’un doigt agile son petit trou.

« Décidément tu es une bonne petite fille obéissante et docile. Ton zizi reste tout mou et tu sais que tu mouilles du cul comme une bonne petite salope. Tes réflexes féminins sont bien conditionnés. Je vais dire à Yves que tu as fait d’excellents progrès depuis deux semaines. Peut-être te libéreras-t-il plus tôt que prévu ! Bon maintenant file chez toi, Yves m’a appelé pour te dire que tu es attendue ce soir ! Un coup de fil de dernière minute de l’ami de Georges. Tu sais ?… Il fête son anniversaire et veux absolument te présenter à ses amis. Tu vas devoir te comporter comme une bonne femelle en chaleur ce soir. Voici son adresse et l’heure à laquelle tu dois y être. Ne soit pas en retard et fais toi belle chérie ! Allez file, j’ai du travail avec Jérôme. »

Sans demander son reste, Samantha reboutonna son chemisier puis, d’un pas empressé, quitta l’appartement. J’étais abasourdi par ce que je venais de voir et d’entendre. Tout était vrai alors ? Comme un con je restais planté devant la porte quand la femme me dit alors :

« Jérôme ! Jérôme, ce n’est pas un nom de bébé ça ! Comment allons-nous t’appeler désormais ? Nathan, c’est assez joli et puis ça me rappelle un enfant de ma classe qui faisait encore pipi au lit. Bon ! de toutes manières on ne va pas se prendre la tête avec un prénom ! Pour l’instant le plus urgent est de te faire vivre tes plus grandes hontes. Ne t’inquiète pas, je suis infirmière diplômée d’état, je connais mon travail. Sauf que dans ton cas précis, il s’agit d’inverser le processus. Je vais bien m’amuser avec toi, Yves est vraiment un amour. M’apporter un type comme toi à humilier en toute impunité, c’est vraiment le rêve pour une femme comme moi. Je vais prendre des photos tout au long de ton parcours. Ce te fera des souvenirs ! »

La suite fut terrible ! Je devins à mon tour objet de sévices particuliers

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