Nathan Chevalier
Journal Intime d'un mouilleur de couches.

Jérôme – Chapitre 1

Chapitre 1 – Prise en main

En consultant comme chaque jour ma boite de messagerie au bureau, j’eu l’impression que le ciel me tombait sur la tête. Un message de Yves avec des photos de moi en couches ! Le salaud ! Comment avait-il fait pour découvrir mon adresse professionnelle ? Les images étaient accompagnées du message suivant:

« Elle sont jolies n’est-ce pas, les photos du pisseux ! Je sais que tu n’as pas mis ta couche ce matin. Je suis furieux contre toi! Saches que désormais tu vas apprendre à m’obéir sans rechigner. J’aurai préféré ne pas t’embêter à ton travail mais vu les circonstances… Comme tu te comportes en sale gosse, je vais te dresser comme tel! C’est bien ton fantasme non?Alors je veux que tu rentres ce midi chez toi et que tu garnisses ton petit derrière. Mais avant tu devras mouiller ta culotte : ce sera ta première punition. Si tu avais eu des couches tu aurais été protégé ! Je veux que ta culotte sente le pipi, tu m’as compris ! Et c’est un ordre ! Je serai à t’attendre ce midi et je veux voir un garçon trempé avec un pantalon mouillé qui a besoin d’être changé. »

Je ne sentais plus mes jambes, et je me sentais impuissant. Comment avait-il deviné que je ne mettrai pas de couche ce matin-là ! S’il avait trouvé mon adresse professionnelle, il pourrait sans difficulté transmettre ces photos compromettantes à ma hiérarchie ! Je compris donc très rapidement que je n’avais pas le choix, sauf celui de faire ce qu’il me demandait. L’heure arriva enfin et je regagnai alors mon appartement. Comme je savais que je ne devais pas le décevoir et qu’il était certainement sur le pas de ma porte à attendre je commençai à inonder mon pantalon en bas de l’escalier. La tache se répandit vite sur le pantalon, mais comme je n’avais que trois étages à monter, personne ne remarquera que j’ai fait pipi dans ma culotte. Arrivé au second étage, ma voisine, qui surveillait mes allées et venues, m’interpella : 

« Mr Chevalier, j’ai deux paquets pour vous . On vient de me les déposer ce matin… » 

Mon cœur battait fort et humilié par un pantalon trempé, je me retournai poliment. Je redescendis alors trois marches et elle me tendit alors deux paquets de couches :

« Vous souffrez de problèmes urinaires ? Ne vous inquiétez pas je sais rester discrète !« 

Je n’ai su quoi lui répondre, mais juste par un mouvement de tête elle comprit que oui. La réponse était déjà évidente et en me remettant ces paquets elle fixa mon entrejambe. Elle continua :

« Mon pauvre monsieur. Votre pantalon est trempé! Tenez, voici vos couches. Vous vous sentirez plus à l’aise quand vous vous serez changé ! »

Je balbutiais un merci honteux et impuissant je repris les marches. Le salaud avait tout prévu, cette mégère allait bientôt ameuter tout l’immeuble. Elle était en effet la plus pipelette du quartier. Arrivé à ma porte, Yves n’était pas là ! Le salaud, je venais de me faire humilier en public par une mégère avec un pantalon pisseux et il jouait les filles de l’air ! Un mot dépassait sous la porte, c’était Yves : 

« Madame Chauvet est une personne charmante. Nous avons beaucoup parlé de toi tu sais ! Comme c’est une personne très discrète. Je me suis lancé à quelques confidences. J’espère que tu ne m’en voudras pas. Elle a été très surprise d’apprendre que tu faisais encore pipi au lit. Je lui ai glissé que les médecins ont décelé une immaturité de la vessie. En te voyant tout à l’heure tu n’as fait que confirmer mes dires. Maintenant, aux yeux de madame Chauvet, tu portes des couches et tu pisses au lit. Pour éviter que tu ne refasses dans ton pantalon et dans ta culotte, tu vas te garnir avec les couches que je t’ai offertes. Cet après-midi tu mettras une couche Tena Maxi nuit avec une culotte pvc blanche. Si les personnes avec qui tu travaillent voient que tu es garnis tu pourras leur donner ta version (à moins que tu préfères que je m’en charge). Bonne journée. Yves.« 

Il avait tout prévu l’enfoiré ! J’avais l’impression de jouer aux échecs contre Kasparov. Une partie inégale, car il avait facilement dix tours d’avance sur moi ! Je savais que c’est très difficile de cacher des couches nuit sous un pantalon et qu’on allait finir par me poser des questions au travail. Cependant je préférai encore leur donner ma version. Je pris une douche et obéissant cette fois-ci. En descendant les marches, je croisais Mme Chauvet qui discutait ferme avec la petite voisine du dessous. Arrivé à leur hauteur, la discussion stoppa net, je compris qu’elles parlaient de moi. Je sentis aussi leurs regards se fixer sur mon entrejambe puis sur mon derrière. Je me sentais de plus en plus honteux. Mais je fis comme si de rien était. Un chuchotement suivi, rire à peine étouffé, au moment d’ouvrir la porte d’entrée qui   est venu m’humilier un peu plus. Finalement la fin de journée au travail se passa pour le mieux.   Personne ne me fit de réflexion. Je me laissai alors aller à des pipis contrôlés. En rentrant chez moi, ma couche était trempée mais j’étais rassuré. Je pris un café et alluma la télé. Sur ma boite email je n’avais pas de message de Yves. C’était bon signe, ouf enfin ce n’est pas trop tôt. Toute cette histoire allait se terminer et tomber dans l’oubli ! J’aime mettre des couches de temps en temps et même si je fantasme sur le fait d’y être forcé, régulièrement, je refuse que ce fantasme devienne réalité plus d’une journée. Je m’arrangeais souvent pour mettre un terme à ce petit jeu malsain et maîtrisais toujours la partie. Mais cette fois-ci Yves était beaucoup plus fort que moi. Ne pas avoir de nouvelles était très bon signe.

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