Nathan Chevalier
Journal Intime d'un mouilleur de couches.

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Quel est/a été l'influence des couches sur vôtre sexualité?

La sexualité du porteur de couches n'étant peut-être pas vraiment le plus commun des chôses je me demande si il y'a des points qui reviennent souvant chez la plus pars des ABDL's.

N'étant pas toujours les cas ou standard je me suis quand même rendus compte que la sexualité d'un ABDL est souvent dans un rôle de soumission. Qu'un soumis aime les couches comme outil de sousmission  ou qu'un ABDL s'identifie à la sousmission par-ce que les couches on en partie tendence à sugérér une sousmission possible ou un mix de ces deux variantes c'est un aspect que j'ai quand même déjà remarqué plusieurs fois. Pour beaucoup de nous les racines se trouvent en enfance, famille, éducation et/ou aspect fysique/médical dans des influences conscientes et/ou inconscientes.

Dans mon cas, j'ai eu une mère dominante/castratrice et deux babysitters abusives de mes 4 à 5 ans et j'ai arrêté de porter des couches vers mes 6 ans.

Dans ma puberté j'ai été quelques fois amoureux/curieux de garçons (comme pas mal de jeunes) mais j'ai quand même fréquenté que les filles à partir de 14 ans. J'ai reporté des couches à partir de 16 ans j'ai eu que des relations héterosexuelles j'usqu'a mes trente ans. Ne satisfesant pas assez mes copines sexuellement et n'ayant pas pour eux l'image d'un homme comme il le désiraient (d'après eux) à cause de mes couches j'ai vécus dans mes 2 dernières relations avec une fille quasi 2 fois le même histoire qui à quand même influencé très fortement ma sexualité. Ceci naturellement par dessus ma préhistoire enfantine consciente et subconsciente. Dans l'avant- dernière relation avec une fille elle m'a trompé, ce qui m'a très fortement secoué mais ou je me sentais aussi coupable dûs à mon rôle et image pas assez satisfesante pour elle. Elle étais la première à me sugérér que j'etais peut-être plustôt fait pour être gay. Sa vrais impression ou pour se déculpabiliser et/ou de m'excuser de n'être pas assez satifesant pour elle je n'en sais rien mais c'est quand même elle qui à réveille ou semé mon intérêst pour les garçons et m'a aussi inscité à essayer les garçons. Ce que j'ai fais par curiosité mais aussi par compensation sachant qu'elle avais aussi des moment intimes en dehors de nôtre couple. Après elle j'ai eu quelques rencontres avec des garçons par interêst mais aussi pour essayer de me comprender mieux. Là je peux dire que j'ai évolué de héterosexuel vers bisexuel. Ensuite avec ma dernière copine j'ai vécus quasi la même chôse mais j'ai dévelopé un goût pour le candaulisme d'ont je soupsonne que ça été ma manière pour rendre acceptable pour moi-même qu'elle avait un amant. Disons que je me identifiais comme cocu volontaire pour ne pas avoir, ou moins mal qu'elle me trompait. Là aussi j'ai fais plus de rencotres avec des garçons ou elle aussi même m'encouragait. J'ai donc évolué de hetérosexuel plustôt dominant vers bi passif vers homosexuel sousmis. Aussi ma sexualité fysique à évolué vers une impuissance, asexualité/féminiastion/régression intérieure. Il est très probable que ces élément étaitent déjà en moi mais je suis convaincus que les couches ont été le catalisateur principale de ce parcours.

Quel est/à été vôtre evolution sexuelle et identitaire à cause des couches?

 

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Nathan a réagi à ce message.
Nathan

🙂
Sujet intéressant.
En ce qui me concerne, l'histoire remonte à mes premiers souvenirs d'enfance. Ma sexualité s'est incrustée autour des couches. Mes premiers émois, j'avais 5 ou 6 ans tout au plus. On ne peut pas encore parler de sexualité mais j'était excité, fasciné par les couches culottes et les fameuses culottes en plastiques. J'ai même réalisé un petit écrit que m'avait conseillé mon psy de l'époque. Ce fut une bonne introspection. Pour ma part donc, lorsque ma sexualité s'est éveillée, les couches et culottes plastiques faisaient déjà partie de mon imaginaire. Elle s'est donc naturellement développée autour de cette particularité. L'histoire est bien souvent très variable d'un individu à un autre. Pour ma part, l'ancrage fut profond car antérieur à la découverte de la masturbation.

Pampix et Utilisateur supprimé ont réagi à ce message.
PampixUtilisateur supprimé

Pour ma part à bientôt 43 ans, je peux dire que l'utilisation des couches dans ma sexualité à rendu ma sexualité très intense, mais auto érotique. La masturbation et exclusive, avec une fréquence quasi permanente. J'aime masturber mon zizi du matin jusqu'au soir en m'interdisant d'aller jusqu'à  l'orgasme éjaculatoire, et ce pendant plusieurs jour voir semaines. Cela provoque une frustration sexuelle intense, et jouissive. Bien évidemment, je suis un très gros suceur de pouce, avec ou sans masturbation cela reste pour moi un plaisir sexuel à part entière. Outre le fait de me donner du plaisir masturbatoire en glissant ma main  dans ma couche, j'aime être surpris pas mon urine qui coule par jet incontrôlés. Rester toute la journée dans une couche remplit de mon urine et aussi source de jouissance. J'aime me masturber aussi en insérant des objet dans mon anus en m'urinant dessus et sucer mon pouce. J'aime me sentir sale, très sale,  ne plus me laver pendant plusieurs jours sentir l'urine. Des fois je vais dans ma baignoire et je me fais pipi dessus. J'urine de très nombreuse fois puis je me baigne dedans en masturbant mon zizi et sucer mon pouce. Quand je suis au seuil de l'excitation je vais me faire jouir en dehors de chez moi après avoir uriné dans ma couche ou tout simplement sous ma robe (je suis travesti). J'aime être moqué, humilié surtout à mon travail et dans la vie courante. A une époque j'ai rencontré un homme d'un certain âge qui jouait les dadys.  Il me fessé après avoir enlevé ma couche me faisait rougir  voire violacé les fesses à coup de ceinture, puis me prenait sans ménagement pour me faire passer l'envie d'être incontinent qu'il disait. Il me traitait de sale de vilaine de merdeuse, que je devrais avoir honte de me faire encore pipi dessus à mon âge J'en garde un souvenir merveilleux.

Nathan a réagi à ce message.
Nathan
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