Nathan Chevalier
Journal Intime d'un mouilleur de couches.

La Solution Finale

En parallèle de mes sorties avec Ma nounou j’étais toujours en quête de cette fameuse solution finale. Une solution qui fasse que mon zizi soit en tout point identique à celui d’un pisseux. Je peux désormais vous annoncer que je viens de réussir à trouver le jouet ultime pour mener à bien ce doux rêve. Mais bon, ça ne s’est pas fait du jour au lendemain…
5 mois de recherche, de tests et le plus souvent de déception avec l’idée qu’il n’y avait peut être pas de solution. 5 mois aussi de douleur car vous pensez bien que certaines expérimentations se terminaient avec d’affreuses douleurs accompagné bien sur d’une mini déprime. La quête du Graal mérite des sacrifices et bien que ces échecs me causaient de gros coups de blues, ils m’aidaient à éliminer les pistes foireuses et les idées débiles (car j’en ai eu des tonnes). Le principe n’a pas changé au fond. Il s’agit toujours d’un tuyau que j’introduis dans mon zizi. Ce qui change c’est tout d’abord que ce tuyau est absolument invisible lorsque je suis nu. Même à y regarder de près, rien, pas l’ombre d’un tuyau.
En fait, il est à l’intérieur du zizi et s’arrête environ à 4 cm du bout du de l’urètre.
A l’autre bout, il termine dans la vessie avec un petit ballonnet gonflé ce qui lui assure un maintien parfait et l’empêche de sortir. Vous allez alors vous demander comment ai-je réussi à mettre ce tuyau et gonfler le ballonnet. C’est là que se situe toute l’astuce de ce jouet : le mode opératoire !!
Voici ci dessous comment j’ai procédé….

Refléxion du Jour

Vous devez maintenant le savoir, Nathy m’a pris sous son aile depuis Septembre dernier. Il a fallu apprendre à s’apprivoiser car je suis ce que l’on peut qualifier un « pisseux rebelle ». Un modèle difficile à cerner et comprendre. Je savais toutefois que Nathy était apte à relever ce défi. Nathy n’est pas simple à comprendre non plus. Une femme exceptionnelle, pleine d’humanité et souvent torturée. Des démons que j’ai aussi malheureusement côtoyé au gré de mes pérégrinations. La vie est pour certains un long fleuve tranquille, pas pour nous. Nos points communs : franchise et honnêteté et un coté candide. Ce mélange lui a joué un sale tour avec un de ses meilleurs amis (ce qu’elle pensait), à qui elle a eu la faiblesse de lui avouer qu’elle renaissait au travers d’une nouvelle expérience : dresser un pisseux. Comme quoi toute vérité n’est pas bonne à dire même à vos meilleurs amis. Bref, j’ai vécu aussi cette candeur et quête de vérité, notamment auprès de ma famille. Foudre de ma propre mère qui n’a jamais voulu accepter que cette « déviance » alors que je n’avais que 5 ans, était d’ordre affectif. Une carence affective qui m’a fait bégayer jusqu’à 12 ou 13 ans. Le chemin a été ponctué d’épines et ce n’est que maintenant que je commence à vivre pleinement la vie que j’ai toujours souhaité vivre. Peu importe le chemin pourvu que l’on atteigne le bonheur, peut importe le vin pourvu qu’on ait l’ivresse, c’est enfin ce que je viens de comprendre.
Nathy pour sa part a aussi suivi ce chemin. Un chemin où pendant de nombreuses années elle a été celle que l’on souhaitait qu’elle soit. Une bonne mère de famille, impliquée dans le social, attentionnée aux désespoirs de des amis. Certainement par gentillesse, par amour de ses prochains. Impliquées et très sensibles aux sujets concernant les inégalités sociales. Une femme à fleur de peau (comme moi). Elle aurait certainement été une Soeur Theresa en or, cependant en s’impliquant trop pour les autres, ont fini par s’oublier soi-même.
Oublier que l’on est aussi un être humain fait d’envie et de désirs. De pulsions et de besoin de Vivre tout simplement. D’envie en fait. L’envie, cette donnée essentielle qui nous fait avancer et progresser. Qui nous fait rire ou pleurer. Qui nous anime tout simplement.
J’ai compris sur le tard cette évidence et depuis je peux vous assurer que « ce qu’il me reste à vivre » sera consacré à ce qui m’anime réellement. Peu importe mes « faux amis » je suis mon chemin, mes envies.
Je rie, je pleure : merci ! Merci Nathy de comprendre qui je suis sans me juger.
Et si je peux lui apporter une renaissance en dehors des carcans traditionalistes qui penseront toujours que « un homme plus une femme = amant » , je serais le plus heureux des pisseux.
Nathy et moi sommes semblables sur tellement de point….Une âme soeur?
Dieu seul le sait…

Tuyau de pisseux…suite

Que du bonheur. Voilà en substance mon état d’esprit ce jour.
Après une semaine passée à tester ma nouvelle invention diabolique, je peux maintenant affirmer qu’elle est d’une efficacité redoutable.
Voici déjà quelques photos de ce « tuyau de pisseux ».

Une fois en place dans le zizi, ce petit objet désactive le sphincter sous contrôle volontaire…
Le résultat après une semaine de pose c’est magique. La vessie commence à travailler de façon réflexe et je me mets à faire pipi sur moi sans pouvoir rien faire.
Des pipis comme les bébés…
En fait le mécanisme est un peu plus complexe que je ne l’aurai imaginé.
Lorsque la vessie atteint 250 à 300 ml, elle envoie un signal au sphincter pour lui signifier que la vessie est prête à se contracter…Cette vessie attend juste une réponse au signal.
Mais quoi qu’il en soit et avec cet équipement en place, la vessie au bout de deux trois signaux, finit par se contracter d’elle même, libérant ainsi dans la couche la valeur d’un grand verre de pipi. Les premiers jours j’ai remarqué que j’arrivai à retarder la contraction de la vessie de quelques minutes à peine. Maintenant je constate qu’elle se met à travailler de façon autonome. Ce qui est étrange aussi, c’est que l’envie de faire pipi survient extrêmement brutalement. Pas comme lorsque vous sentez l’envie venir au fur et à mesure, nan là c’est direct du producteur au consommateur. Une envie irrépressible qui vous prend à dépourvu. Et bien sur une fois que vous sentez l’envie c’est déjà trop tard…La vessie envoie des influx nerveux à sphincter à plusieurs reprises et à la moindre réponse réflexe, c’est trop tard. La vessie se contracte, et impossible d’arrêter le flux même avec tous les efforts du monde. Je pense que dans moins de 3 mois j’aurai réussi à rendre ma vessie en « automatique » et je pourrai alors me passer de ce tuyau.
C’est quand même assez humiliant d’être ainsi réduit à faire pipi de façon réflexe comme les bébés qui n’ont pas encore acquis la propreté !!
Que du Bonheur !

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